[EXPO] RENCONTRES POLAIRES, PAR MICHEL AUBÉRY
- Temps de lecture : 2min
- Date : 11.10.2022
Du 18 octobre au 20 novembre 2022
Après les tortues marines en 2017 et les récifs coralliens en 2020, c’est aux animaux polaires que l’artiste monégasque Michel Aubéry consacre sa prochaine exposition. Une quarantaine de toiles seront présentées au Musée océanographique du 18 octobre au 20 novembre 2022.
Renards blancs, hermines et autres baleines à bosse sont les nouveaux protagonistes des créations de Michel Aubéry. Des créations qui auront demandé pas moinsd’une année de travail… et quelques recherches : « Certains animaux m’étaient inconnus, comme le gorfou ou le macareux, m’obligeant à me documenter pour pouvoir les représenter au mieux, mais surtout à ma manière ! » confie l’artiste.
A travers un art expressionniste et fantastique principalement travaillé au pochoir, aux feutres Posca et à la peinture acrylique, l’artiste fait passer un message de protection en faveur de ces animaux emblématiques. Avec sa 4e exposition au « Temple de la Mer », l’artiste monégasque vient enrichir et compléter la programmation polaire de l’Institut océanographique lancée au moins de juin 2022 avec la grande exposition immersive « Mission Polaire ».
A propos : Né à Monaco, Michel Aubéry commence dès l’âge de 10 ans à peindre dragons et autres animaux irréels, ce qui attire l’attention de Jean Cocteau et du peintre Armand Nakache. À 14 ans il expose à la Galerie Rauch de Monte-Carlo, sous le patronage de S.A.S. la Princesse Grace de Monaco. Il côtoie alors les peintres Ben, Viallat ou encore Charvolen. Il s’arrêtera de peindre pendant 45 ans. Dans l’intervalle, ce diplômé de l’École des Arts Décoratifs de Nice évolue sur deux terrains. Professeur d’art à la Famous Artist School de Monaco pendant 7 ans, il se distingue également dans le domaine sportif, d’abord joueur puis entraîneur et enfin Président de l’Association de l’AS Monaco. Il reprend cette passion en 2008. Depuis, plusieurs expositions montrent qu’il n’a rien perdu de son talent. Remarqué au Pavillon Monaco de l’Exposition Universelle de Milan en 2015 par la Société Amalart, son art s’est exporté en Chine, en Italie (Sardaigne, Bologne) ou encore à Dubaï.